In addition, a step further, does it truly demonstrate that the company provides fairness of treatment for men and women according to their respective needs, as “gender equity” defined by UNESDOC (United Nations Educational, Scientific and Cultural Organization)? It’s hard to imagine that in the 1980s your moped could be destroyed completely in the garage just because you attended a male-driven school studying in a male-dominant major and pursuing your ambition, as our speaker Francoise Brougher recalled when she was 14 years old. In the past 40 years, women found a way to adapt to its leadership style and workplace culture, nevertheless, the resentment and unwelcome still exist today in a more subtle manner.
Nous sommes familiers des entreprises affichant un indice de parité 50/50. Néanmoins, cela ne signifie pas “l’égalité des sexes”, soit l’objectif final, qui signifie que les droits, les responsabilités et les opportunités ne dépendront pas du fait qu’un employé est né homme ou femme.
En outre, cela démontre-t-il réellement que l’entreprise s’assure d’un traitement équitable des hommes et des femmes en respectant leurs besoins respectifs (comme le définit l’équité entre les sexes de l’UNESDOC) ? Françoise Brougher nous raconte sa première rencontre avec le sexime lorsqu’elle avait 14 ans. Difficile pour nous d’imaginer que dans les années 1980, votre scooter pouvait être complètement détruit sur le parking d’une école à prédominance masculine, en étudiant dans une filière à prédominance masculine car vous aviez fait le choix de poursuivre votre ambition. Au cours des 40 dernières années, les femmes ont trouvé le moyen de s’adapter au style de leadership et à la culture du lieu de travail, mais le ressentiment et l’importunité existent encore aujourd’hui, de manière plus subtile.